Dance till you can't dance

15/03/2008: Je continue dans le long chemin du quotidien. Hier, je suis rentré avec ma soeur chez mes parents que je vois pas. Mon petit frère était tellement excité de nous revoir qu'au bout d'une heure de présence, il se cloitrait déjà avec un épisode de "Joséphine ange gardien" avec cette naine suceuse de Mimie Mathy. A part ça, j'ai revu deux de mes amis que je ne peux malheureusement voir souvent: Marine et Pascal accompagné lui de sa nouvelle copine. Etant donné que je ne passe jamais inaprerçu au Bowling Avenue, ce fut la même chose hier soir: j'ai commencé à marcher bizarrement, à danse en mangeant ma glace... Vous avez dit fou? Pensez vous... Après cette réunion, j'ai refusé d'aller à la Foire de Béthune, l'appel de la nouvelle série sex Californication étant plus fort que tout. Puis, quelques messes basses dans la voiture avec ma soeur et Marine à propos de choses que je ne peux dévoiler. Les secrets sont des secrets. Certains diront langues de pute, moi je dirai pute assumée. Enfin bref, après Californication, nous avons décidé d'aller au Zoo avec ma soeur. Et là, décadence, la boîte n'est plus ce qu'elle était: infestée de kékés hétéros, vieille qui s'amusait à détruire en karaoké les chansons de Queen, vieille qui m'embrassait dans le cou (pensant peut-être que je lui foutrai un coup avec ma grosse queue).... Puis, à 2h du matin, aucune ambiance. Mais moi, je dansais quand même. La fièvre de la danse m'emporte souvent, c'est pour moi se laisser aller à un nouveau mode d'expression qui est scellé au corps. Les gens ont peur de se ridiculiser sur la piste. Or, je pense que la danse doit s'exécuter sans jugement, sans peur. Dansez jusqu'à ce que vous ne pouvez plus danser, c'est un crédo à suivre. On dit que le ridicule ne tue pas, la danse non plus. Au contraire, elle libère. C'est une sorte de confession intime qu'on livreau corps pour échapper à nos problèmes. Si nous dansions tous le jours, on aurait 100 fois plus de bonheur et certainement 100 fois plus de corps au pied. C'est facile de se moquer des gens qui ne savent pas danser quand on ne le fait pas soi-même. Je me le permets moi car je me débrouille. Et il ne faut pas nier que même un gros cul a encore la capacité de se déhancher. Alors, vous n'avez plus aucune excuse, la prochaine fois que j'irai en boite et que vous serez mou sur vos so soft canapés, Dita et moi arriverons avec nos cravaches pour vous bouger le cul. And never forget: Danse jusqu'à ce que tu ne peux plus baiser (au moins tu feras plus la pute en boite).

MASTER OF DITA

Comments

[Luigi]

Je danse pas , mais j'adore les coups de cravache , quand tu veux maitre :D